http://www.youtube.com/watch?v=G5GR8s-saZM

Catégorie : MONTRES DU XVI EME SIECLE

 

Saint François de Paule, montre de Michel GIRARD

MONTRE OIGNON réveil, en argent, coq émaillé, signée Michel Girard, Genève, vers 1695.

Boîte en laiton doré et argent, bâte ajourée. Sur le fond, la boîte en argent est ornée d’une scène mythologique représentant Euterpe la déesse de la Musique. Cadran à cartouches avec une aiguille, remontage de la sonnerie réveil et du mouvement. Mouvement à échappement à verge et balancier spiral

Coq émaillé représentant le portrait de Saint François de Paule avec sa maxime « Charitas ». Né en 1416 à Paule en Calabre (Italie), il  fut le  Fondateur de l’ordre des Minimes. A sa mort en 1507, on compte 13 couvents des Minimes dans le Royaume de France puis 38 en 1600 et plus de 150 à la fin du XVII -ème siècle. Sa représentation sur le coq de cette montre est représentative de sa célébrité au XVII -ème siècle.

Les Minimes respectent une partie des règles de vie de Saint François de Paule. Pendant des siècles, ils portèrent une robe de drap grossier de couleur noire qui descend jusqu’aux talons, une ceinture de laine nouée de cinq nœuds ; ils ne pouvaient quitter cet habit ni le jour, ni la nuit. Il leur était interdit de porter des chaussures fermées, sauf en voyage, sabots de bois ou sandales rappelant aux moines qu’ils sont parmi les plus pauvres.

Dans le cadre de la restauration d’une magnifique montre historique, je recherche une vis sans fin (tout ou partie du système)

Ce dispositif de réglage, parfois attribué à l’Horloger londonien Barrow, équipe certaines montres anglaises ou certains oignons de l’école de Rouen – Dieppe- Caen vers 1680.

Si vous possédez tout ou partie de ce dispositif de réglage ( vis sans fin, curseur, supports), veuillez, s’il vous plait, me contacter pour un premier contact par mail: h.a.c@outlook.fr

Dans l’attente …

Bien cordialement.

( Je retirerai cette annonce dés que j’aurai trouvé la pièce)

Clef à rébus

Aimez votre ami sans cesser

Horloger à Versailles

Il faut souffrir pour parvenir

C’est un petit coq de montre de 26 mm de long et 18 mm de haut en laiton doré. Il provient d’une montre fabriquée après 1840.
La belle Poule a été lancée en 1834. Ce fut elle qui ramena les cendres de l’Empereur Napoléon 1er de Sainte-Hélène en 1840. Sur la coque du bateau est inscrit la maxime de Napoléon « Il faut souffrir pour parvenir ». Aux deux extrémités du coq de montre un buste de Napoléon.
Dans les jours les plus sombres de Sainte-Hélène, il avait dit à ses compagnons : “Vous entendrez encore Paris crier “Vive l’Empereur !…” Napoléon ne s’était pas trompé.

Ce 15 décembre 1840, malgré un froid soutenu de moins 10 degrés, un million d’hommes, de femmes et d’enfants se sont pressés tout au long du parcours que son cercueil doit emprunter. Du pont de Neuilly jusqu’aux Invalides, la foule des spectateurs est prodigieuse. Même les toits des maisons sont couverts. L’impatience, l’excitation, la peine et la joie se mêlent dans une attente insoutenable. Soudain, à trois points différents de l’horizon, le son du canon éclate provoquant le silence. Le soleil voilé jusqu’à ce moment, reparaît en même temps. L’effet est prodigieux.
 
Le char s’ébranle, on commence à l’entrevoir. Alors, dans un triste et fanatique amour, tous l’acclament tandis que le cercueil passe sur un pavois au dessus du battement des cœurs des vétérans et de l’inclination terrible de leurs drapeaux.
 
Victor Hugo évoquera cette journée dans Les Rayons et les Ombres :
« Ciel glacé ! soleil pur ! Oh ! brille dans l’histoire ! Du funèbre triomphe, impérial flambeau ! Que le peuple à jamais te garde en sa mémoire Jour beau comme la gloire, froid comme le tombeau. »
Avec le sarcophage impérial, transporté sur un char long de 30 mètres et haut de 10, orné de 14 statues représentant les victoires les plus éclatantes de l’Empire et tiré par 16 chevaux, passe l’époque la plus haute peut-être de l’Histoire. Que de sang, que de larmes, mais que de grandeur ! 20 ans durant, la France fût maîtresse de la terre, dans un tumulte d’orgueil que Rome même ne connut pas.

LA PENDULE DE PASSEMANT

LE TEMPS MESURE D’UN FABULEUX DESTIN, NAPOLEON 1769-1821

Retrouvez sur le site l’intégralité de la passionnante Conférence de Bernard SENECA
« Le Temps mesuré d’un fabuleux destin, NAPOLEON 1769-1821 »


http://www.horlogerie-ancienne-collections.com/temps-mesure-dun-fabuleux-destin-napoleon-1769-1821/

LE ROI SOLEIL

Coq en laiton doré, diamètre 35 mm. « Nec pluribus impar »

Les 5 et 6 juin 1662, une grande fête est donnée à Paris, dans l’ancien pavillon de Mademoiselle, aux Tuileries, pour célébrer la naissance du dauphin. C’est à cette occasion que le roi décida de se référer au Soleil. Il s’en expliqua lui-même à son fils: « Ce fût là que je commençai à prendre que j’ai toujours gardée depuis, et que vous voyez en tant de lieux. On choisit pour corps le soleil, qui, dans les règles de cet art, est le plus noble de tous, et qui, par la qualité d’unique, par l’éclat qui l’environne, par la lumière qu’il communique aux autres astres qui lui composent comme une espèce de cour, par le partage égal et juste qu’il fait en tous lieux, produisant sans cesse de tous côtés la vie, la joie et l’action, par son mouvement sans relâche, où il paraît néanmoins tranquille, par cette course constante et invariable, dont il ne s’écarte et ne se détourne jamais, est assurément la plus vive et la plus belle image d’un grand monarque. » Le roi a alors vingt-quatre ans, le mythe du roi soleil s’établit solidement pendant près d’un demi siècle.

Première montre répétition des quarts, sans fusée, une aiguille, réserve de marche

Montre signée GLORIA à Rouen (vers 1680)

LE MYSTÈRE DES QUATRE « ENSEIGNES »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Récente découverte insolite, cette montre en argent réalisée autour de 1665, en forme de Cœur,  fait pendant à la montre en forme de trèfle trilobé de Mathieu Gosselin (description sur le site, rubrique »montres du 17 eme siècle). Les décors sont semblables, probablement sortis du même atelier de gravure. La technique de fabrication des deux boîtes est identique, compositions florales et au centre un masque, le tout sur un fond émaillé. Côté cadran, même composition avec angelots et petit cadran émaillé bleu en son centre.

Alors pourquoi ne pas penser qu’il a existé au 17 eme siècle les quatre ENSEIGNES;   CŒUR, TRÈFLE, PIQUE, CARREAU. Cet ensemble d’une grande originalité aurait pu être une commande prestigieuse…

Si vous possédez la montre PIQUE ou CARREAU faites-moi signe!

(Nouveau, vous pouvez laisser vos commentaires éclairés ci-dessous...)

 

Le triomphe du temps et de la désillusion. Georg Friedrich Haendel. 1707

Il Trionfo del Tempo e del Disinganno présente la surprenante particularité d’être à la fois le premier et le dernier oratorio de Haendel (1685-1759). Composé en 1707 peu après l’arrivée du jeune compositeur à Rome, l’ouvrage était appelé à connaître de nombreuses métamorphoses. Haendel recyclera plus d’une fois Il Trionfo, déjà tissé d’emprunts à d’autres compositeurs selon une pratique courante à l’époque. Non seulement Haendel va réutiliser sa partition au profit de plusieurs autres de ses œuvres comme Aggripina (1709) ou Rinaldo (1711), mais le compositeur va également reprendre et étoffer Il Trionfo selon les besoins de sa carrière jusqu’en 1758 où il sera donné pour la dernière fois à Covent Garden sous son titre anglais devenu The Triumph of Time and Truth – c’est-à-dire Le Triomphe du Temps et de la Vérité. C’est parcequ’un édit papal interdit toute représentation d’opéra à Rome, qu’Haendel se tourne vers des formes apparentées au théâtre lyrique comme la cantate ou l’oratorio. Le compositeur accepte de mettre en musique un livret ducardinal Benedetto Pamphili, un riche prélat romain qui jouissait d’une flatteuse réputation de poète. Utilisant un procédé très prisé chez les baroques, Il Trionfo repose sur l’affrontement de quatre personnages allégoriques : le Temps et la Désillusion s’opposent au Plaisir pour convaincre et soumettre à leurs arguments la Beauté qui finira par préférer à une vie insouciante le cilice et un cloître isolé. Très différent des grands oratorios de la maturité de Haendel, Il Trionfo se signale par son effectif instrumental réduit et son absence de chœur. La partition séduit par l’inventivité de son écriture et la fraîcheur de son inspiration. L’œuvre contient une sonate pour orgue et orchestre qui annonce le style des concertos pour orgue qu’Haendel reprendra trente ans plus tard dans ses oratorios anglais. Tous les mélomanes connaissent l’ouvrage à travers un air devenu très célèbre, celui que chante le Plaisir pour achever de séduire la Beauté : « Lascia la spina » (« Ne touche pas aux épines ») qui se métamorphosera en « Lascia ch’io pianga » dans l’opéra Rinaldo (1711). Le cinéaste Gérard Corbiau contribuera largement à la popularité de cet air qu’il utilise magnifiquement dans son film Farinelli (1994).

ALMANACH PERPÉTUEL DU ROI LOUIS XV

⇑ ALMANACH  PERPÉTUEL DU ROI LOUIS XV FABRIQUES PAR ANTOINE-NICOLAS MARTINIERE ( 1706-1784) EN 1741-1742. Email sur cuivre. Surmontés des armes de France avec couronne royale. Les plaques d’émail indiquent les mois, les signes du zodiaque, les phases de lune, les jours de la semaine, les dates des Saints. Chaque almanach est dédié à Louis XV et des maximes accompagnent les quatre almanach. The WALLACE Collection – Londres

Temps mesuré d’un fabuleux destin « Napoléon 1769-1821 »

En ce XXIe siècle, où notre espace de plus en plus finement fractionné, semble dévoré par notre façon d’aborder la vie, il a paru judicieux d’accompagner l’exposition du Château de Versailles à Arras, <<Napoléon 1769-1821>> au musée des beaux-arts d’Arras, d’une présentation d’œuvres horlogères exceptionnelles. Cette rare exhibition marque l’ambitieux souhait d’illustrer l’emblématique existence de cet homme, période majeure dans l’appréciation de la mesure du temps, prémices du sentiment de notre époque à ne plus en disposer.

C’est également l’occasion de rendre hommage à des artisans qui par leur inventivité se sont remis en question en évoluant de maître horloger <<savant honnête homme du XVIIIe siècle>> à entrepreneur et ingénieur de manufacture trente ans plus tard. Ce défi, révolution difficile pour un métier vieux de plus de cinq siècles, encadré par un corporatisme rigoureux et contraignant depuis trois cent ans, est l’indispensable prélude d’un tournant décisif pour aborder la production de masse de l’épopée industrielle du XIXe.

Relativement bref, cet intermède historique est la conséquence d’une profonde mutation de société imposée par une jeunesse éduquée issue du siècle des lumières, ayant soif de réformes, de liberté de pensée et de modernité d’entreprendre. Ces belles aspirations assez partagées par le corps des maîtres horlogers et horlogers mécaniciens, le sont du fait qu’ils côtoient et fournissent par une diversité novatrice de construction d’instruments et de machines, un monde scientifique moteur d’une recherche encyclopédique en pleine expansion. Toutefois, pour mesurer de plus en plus précisément le temps privé et public, en valorisant par leur créativité l’évolution des mentalités, des modes et en servant également les puissants successifs, leur art est aussi le reflet remarquable d’une époque de bouleversement vécue avec incertitude et prudence.

De ces années foisonnantes, malgré les modes passées, les pillages et destructions, nous sont parvenues en héritage des œuvres simples ou prestigieuses dont certaines avec plus de deux cent ans d’existence, rythment encore utilement la vie de nos demeures et palais nationaux. Mais c’est dans le riche patrimoine, amoureusement entretenu par les collectionneurs privés, passeurs de témoins, que nous avons eu le privilège d’effectuer une sélection de trésors qu’ils souhaitaient faire partager à un large public. Ce choix, avec la rigueur conforme à nos connaissances historiques actuelles, n’est forcément pour l’évocation de cette époque, qu’une projection restreinte de l’incroyable diversité des montres et des pendules destinées aux nouveaux acteurs du pouvoir, à la bourgeoisie conquérante et une population avide de changement.

Influencés par l’histoire, la littérature, les découvertes et les conquêtes, mis en valeur par une vaste diversité d’acteurs qui les habillent: dessinateurs, peintres, sculpteurs, émailleurs, orfèvres, lapidaires, bijoutiers, ébénistes et bronziers, ces ouvrages richement pourvus ou modestes, ont été les témoins actifs et privilégiés de la mesure d’une vie. Fil d’Ariane du déroulement d’une époque marquante de notre passé, leur présence et leur charme, nous invitent avec bonheur à découvrir les talents des maîtres horlogers qui par leur précieuses créations, aujourd’hui encore, nous content un tumultueux et remarquable demi-siècle, <<temps mesuré d’un fabuleux destin>>, celui de Napoléon.

Bernard SENECA, Horloger

Commissaire scientifique

Délégué régional de l’Association Française des Amateurs d’Horlogerie Ancienne

EXPOSITION MUSEE DU CINQUENTENAIRE à BRUXELLES

Qu’elles soient bassines, oignons, de gousset ou de ceinture, les montres émaillées des années 1650-1850 sont des chefs-d’œuvre miniatures dont les décors, réalisés avec brio par des artisans de génie, invitent celui qui les admire à un véritable voyage  au cœur même des modes et des goûts de l’époque.

L’exposition Once upon a time mettra en évidence une facette particulièrement attachante de la riche collection d’horlogerie ancienne que le musée possède, à savoir les montres émaillées de 1650 à 1850. L’exposition mettra ainsi à l’honneur le génie des émailleurs, franco-suisses pour la plupart, qui ont su, par le biais de la technique de l’émaillage, transformer de simples montres en bijoux précieux.

Scènes frivoles, bucoliques et exotiques

Les quelque 175 montres exposées seront abordées par le biais de leur décor, dont l’iconographie est souvent inspirée par les tendances et les mœurs de l’époque mais aussi par les grandes œuvres de la peinture  de chevalet. L’exposition sera présentée dans cinq salles et divisée en 12 chapitres thématiques. Parmi les sujets approchés, citons les scènes frivoles, les bergerades et les jardins, les voyages et la découverte du monde, l’influence de l’Orient ou encore les Lumières et la Révolution.

 

 

Comment les montres sont portées

18-eme-siecle-2-jeunes-femmesLes montres sont au XVIII e me siècle des accessoires importants dans la parure féminine et masculine. Afin de les mettre en valeur sur le costume, elles sont suspendues à la taille par une châtelaine. Cette mode crée vers 1730 perdure jusqu’à la fin du XVIII  e me siècle. La châtelaine est composée de trois ou quatre plaques reliées par des anneaux. A la première plaque sont accrochées des chaînettes servant à porter la clef de montre et diverses breloques telles que cachets et flacons.

COQ DE MONTRE LOUIS XIV EN ARGENT

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Coq de montre Louis XIV en argent découpé à jour d’un décor symétrique de feuilles d’acanthe, de mascarons et de médaillons quadrillés. Les horlogers du règne de Louis XIV employèrent parfois des coqs de montres en argent. Ces coqs en argent s’accordent généralement avec des boîtiers en argent. Le Musée du Louvre possède, dans sa fabuleuse collection, une montre de forme « oignon » signée Louis-Isaac GIRARD, datée de 1720, avec un coq identique à celui-ci. Cela nous amène à penser qu’il est faux de prétendre que les coqs de montres anciennes étaient tous uniques. Les modèles réalisés à partir des dessins de grands maîtres graveurs comme Jean Berain ou Pierre Bourbon à la fin du XVII e me siècle, ont été reproduits et ornaient beaucoup de montres aujourd’hui disparues.

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EXPOSITION MONTRES DE CARROSSE MUSÉE D’ARRAS

Bernard Sénéca, horloger et restaurateur était le commissaire de l’exposition « la Montre de carrosse et temps mesuré du voyage de Louis XI à Emile Loubet » qui a été présentée au musée des Beaux-Arts d’Arras, du 17 avril au 8 juillet. En marge de l’exposition « Roulez Carrosses », il a présenté cent quinze objets précieux et originaux, en provenance d’Europe dans leur contexte historique. Il nous montre ici l’une de ces montres d’alcôve qu’il a exposé.

SUPERBE HORLOGE DE TABLE D’HENRI II, 59 E ME ROI DE FRANCE

IMG_1581IMG_1582⇑ Ecole Italienne, XVI e me siècle, HENRI II,  59 e me Roi de France.  Il tient dans sa main une horloge de table cylindrique en laiton doré. On peut distinguer les chiffres romains sur le cadran. La boîte est entièrement sculptée contrairement à la plupart des décors de cette époque qui étaient gravés. Ce portrait a été réalisé entre 1547, date de l’accession au pouvoir d’Henri II et 1559, date de sa mort. Collection du Château de Chantilly.

 

Les montres du XVIII e me siècle du Musée du Louvre

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Depuis le mois de juin, le Musée du Louvre nous permet de découvrir une partie de sa fabuleuse collection de montres du XVIII e me siècle. Les salles présentent également des reconstitutions de mobiliers et objets d’art dont pendules et horloges Louis XIV, Louis XV et Louis XVI dans leur cadre d’origine. A découvrir sans tarder!


LA WALLACE COLLECTION

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WALLACE COLLECTIONWALLACE COLLECTION 01

MONTRE OVALE SIGNÉE SALOMON CHESNON VERS 1630

Salomon CHESNON 1 er, installé à Blois. Né à Blois en 1572. Etabli en 1598. Se marie au Temple en 1604. Juré en 1615, mort en 1639. En 1618, Marie de Médicis lui acheta une grande horloge sonnante à mettre sur table pour 800 livres.

Cette montre ovale à sonnerie au passage (en bon état de fonctionnement) récemment acquise par un Collectionneur en salle des ventes, était dans la même famille depuis 400 ans ! Ce qui est extrêmement rare ! Vous la voyez telle qu’elle a été mise en vente et telle qu’elle sera gardée, avec les traces du temps …

Vous pouvez approfondir cet article dans « mes commentaires », ci-dessous.
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