MONTRES DU 17 EME SIECLE
⇒ Réalisée autour de 1665, unique exemplaire connu en France, elle ne possède pas de spiral réglant, procédé inventé dix ans plus tard par Huygens. Le niveau de fabrication et la taille des rouages sont particulièrement fins pour cette époque. Mariant perfection technique et qualités esthétiques, elle est signée Mathieu Gosselin, maître horloger actif à Rennes durant la seconde moitié du XVIIe siècle. Le cadran horaire, détaché d’un fond vert, porte des chiffres romains pour les heures. Prenant la forme d’un trèfle trilobé, elle s’embellit d’un charmant cadran en émail. Il met en scène des angelots soutenant une guirlande florale. Finement peint, il se rapproche des créations de l’atelier de Pierre Ier Huaud, miniaturiste châtelleraudais devenu en 1671 citoyen genevois. Avant de s’établir en Suisse, il s’était probablement formé dans le cercle des émailleurs blésois. Quant au ravissant décor, il est attribué à Jacques Vauquer, célèbre graveur ciseleur blésois, auteur de compositions florales raffinées.
⇑ Montre ronde signée DEBAUFRE Pierre, Paris, 2 eme moitié du XVII eme. Or, diamants, laiton doré, fer. Musée national de la Renaissance, Ecouen
⇑ Tableau de Hupin Jacques actif durant la 2e moitié du 17e siècle. Nature morte avec montre et horloge de table. Musée du Louvre, Paris.
⇑ Montre ovale signée CHAPELLE Pierre, vers 1600, France. Musée National de la Renaissance, Ecouen.
⇑ Vanité de Hendrick Andriessen en 1650
⇑ Montre ronde signée Ester Jean-Henry, le Fils (1631-1676). Genève vers 1650. Musée National de la Renaissance
⇑ Portrait de Hester Crispe (née en Irlande), 1620 école anglaise
⇑ Montre ovale signée Martin DUBOULE, Genève dévut XVII eme siècle. Argent gravé, émail, monture en laiton doré. Musée des Beaux Arts de Dijon. Inv cat 1500
⇑ Montre ovale émaillée signée Jean THORELET à Rouen. Deuxième quart du XVII eme siècle. Emaux en résille sur verre sur fond bleu. Inv O.A 683. Musée du Louvre, Paris. www.horlogerie-ancienne-collections.com
⇑ Pieter Claesz, Vanité, XVII eme siècle.
⇑ Montre octogonale, Allemagne, vers 1640. Laiton doré, argent. Musée Nationale de la Renaissance, Ecouen. www.horlogerie-ancienne-collections.com
⇑ Montre octogonale signée Paul CUPER à Blois (vers 1620-1630). Argent, laiton doré, fer. Hauteur 4,4 cm, Longeur 3,2 cm, Profondeur 2,3 cm. Musée Nationale de la Renaissance, Ecouen.
⇑ Autoportrait d’ Agostino Carracci né à Bologne en 1557 et mort à Parme en 1602.
⇑ Musée National de la Renaissance, Ecouen.⇑ Montre ovale en laiton doré, cadran en argent gravé d’un soleil. Vers 1640. Musée National de la Renaissance, Ecouen. www.horlogerie-ancienne-collections.com
⇑ Pieter Claesz 1597-1660. Nature morte au crâne avec livres coupe Römer, lampe à huile et plume. Peinte en 1645 cette oeuvre est l’une des plus importantes de la collection Hornstein.
⇑ Montre ovale signée B. BOUDON à St Flour. Première moitié du XVII eme siècle. Laiton doré, fer, verre. H 4,9 cm, L 3,3 cm, P 2,3 cm. Musée National de la Renaissance, Ecouen.
⇑ Cornelis Jonson van Ceulen, portrait d’homme tenant sa montre, 1650.
⇑ Montre en forme de tête de mort, vers 1620, signée MARTINOT Denis (actif pendant le premier quart du XVII eme siècle) à Paris. Bois doré, laiton, fer.Musée National de la Renaissance, Ecouen.⇑ Montre en forme de tête de mort signée Jean ROUSSEAU Genève. Argent, laiton doré. D: 5,5 – H: 4,5 cm. Milieu du XVII e siècle
La boîte crânienne forme la cuvette du boîtier tandis que la mâchoire inférieure, articulée par la charnière située derrière la tête, sert de couvercle au cadran. Le crane est repercé et gravé de rinceaux fleuris. Deux médaillons réservés sont gravés: l’un, situé sur le front, représente Adam et Eve; l’autre, derrière le crâne, figure La Résurrection. Une banderole gravée de sentences entoure ce décor: Stipendia Peccatimors.Donum / Sicut in Adamo omnesmoriuntur / ita & in Christo omnesuiuificabutur. Unanneau de suspension est fixé au dessus du crâne. Mouvement à réveil à échappement roue de rencontre, fusée à chainette acier. Barillet de sonnerie gravé et reperçé de rinceaux fleuris, coq à un pied. Cette montre est à rapprocher de celle exposée au Musée National de la Renaissance également signée Jean Rousseau. Inv.OA 8314. Collection Musée du Louvre
⇑ Montre en forme de tête de mort signée Jean ROUSSEAU, Genève, milieu du XVII eme siècle.
Cette montre est à rapprocher de celle exposée au Musée du Louvre également signée Jean Rousseau. Musée National de la Renaissance, Ecouen.
⇓ Les montres en forme de tulipes connaissent une vogue particulière dans le deuxième quart du XVII ème siècle, témoignant du goût pour cette fleur importée de Hollande, que l’on remarque alors dans tous les arts décoratifs.
⇑ Montre de forme tulipe signée J.B DUBOULE (1615-1694). Suisse, Genève. Email, laiton doré, cristal de roche. THE WALLACE COLLECTION (Londres)
Cette montre est à rapprocher de la montre tulipe ci-dessous signée également DUBOULE (musée de la Renaissance, Ecouen). Le cadran et la boîte sont identiques, seul le pendant est différent. Bien que datée de 1630 par le Wallace Collection, cette montre comme celle du musée de la Renaissance doit dater de 1660.
⇑ Montre de forme tulipe signée DUBOULE Jean-Baptiste (vers 1660) horloger à Genève. Argent, cristal de roche, laiton doré, émail, fer.Hauteur 3,9 cm, largeur 2,6 cm.
Musée National de la Renaissance, Ecouen.
⇑ Montre en forme de tulipe en argent, Musée du Petit Palais, Ville de Paris.
⇑ Montre en forme de tulipe signée Jacques SERMAND, Genève, deuxième quart du XVII e siècle. Cristal de roche, laiton doré, argent. H: 5,1 cm – L: 2,8 cm – Ep: 2,8 cm.
La montre a la forme d’un bouton de tulipe à trois pétales en cristal de roche nervurés, montés à charnière et sertis d’armatures en laiton amati. L’anneau de suspension est formé par la tige recourbée du bouton. Cadran ovoïde en laiton gravé au centre d’un paysage, sur le pourtour de fleurs. Mouvement a échappement à verge, fusée avec corde à boyau, coq et cliquet ajourés de fleurs de fraisier. Inv. 7063 Collections du Musée du Louvre.
⇑ Montre en forme de fleur en argent signée J.DRACQUES à Nérac, premier quart du XVII eme siècle. Le boîtier en argent poli et amati est recouvert du côté du fond par trois pétales nervurées, émergeant de la base du pendant. Celui-ci est formé d’une boule encadrée de trois petits pétales. A l’anneau est suspendu une chaîne portant une clef à manivelle, en laiton repercé et gravé de fleurs. Musée du Louvre.
⇑ Montre de forme de bouton de pavot. Début XVII e siècle. Allemagne. Ambre, argent, laiton, émail. Diamètre : 3,2 cm
Le fond est en ambre taillé de six lobes formant un bouton de pavot. Il est fixé à sa monture par 6 griffes en forme de feuille et 3 fis dorés réunis sous le pendant. Le cadran est en argent émaillé, orné au centre d’un escargot et d’un insecte aux couleurs translucides (jaune, vert, bleu). Le mouvement est muni d’un échappement à verge et d’une fusée. C’est un des plus beau exemple de montre-bijou conservé . Collections musée du Louvre, Paris. IN. OA 7071.
⇑ Portrait d’une femme vers 1620.
⇑ Montre en forme de tulipe signée J.JOLY à Paris. Or, laiton, émail. Première moitié du XVII eme siècle. H 4,2 cm, L 2,9 cm, Ep 2,9 cm.
La boîte couverte d’émaux champlevés a la forme d’un bouton de tulipe. Ses trois pétales émaillées de blanc sont soulignés de nervures en or réservé et décorés de rinceaux fleuris. Les fleurs et les feuilles se détachent en émail translucide rouge et vert tandis que les tiges apparaissent en or réservé. Musée du Louvre.
⇑ Montre en forme de fleur signée Michel SCHULTZ, Dantzig. Première moitié du XVII e siècle. Arent, laiton. H 5,2 cm, L 3,2 cm, Ep 2,1 cm.
Le boîtier en argent gravé et amati a la forme d’un bouton de fleur ovoïde dont les pétales aux contours aigus sont appliqués en relief, préssé les uns contres les autres. Musée du Louvre, Paris.
⇑ Pieter Cornelisz. van Slingelandt Leyde 1640-1691
⇑ Elizabeth Salter de Flowton par J Hoskins en 1621
⇑ Montre de forme coquille, France, première moitié du XVII eme siècle. Argent, laiton doré, fer. Musée National de la Renaissance, Ecouen.
⇒ MONTRES ASTRONOMIQUES
⇑ Montre astronomique Musée du Louvre
⇑ Montre astronomique Musée du Louvre
⇑ Montre ronde astronomique en cristal de roche signée Girod Gaspard Jean, Suisse, vers 1620. Laiton doré, argent, cristal de roche.Musée National de la Renaissance, Ecouen.
⇑ Montre astronomique signée Johann THORENMANN. Milieu du XVII e siècle (cadran, boitier). Début du XVIII e siècle (mouvement). Argent, laiton. H: 6,1 – L: 5,2 – Ep: 2,7
Le boîtier circulaire en argent est orné de godrons rayonnants, alternativement polis et sablés. Ils se réunissent autour d’une fleur stylisée et se prolongent sur la lunette du verre.
Diverses indications sur les disques en argent gravé: les quantièmes, les phases et l’âge de la lune, les jours de la semaine et leur planète, les heures en chiffres romains. Les deux aiguilles sont en acier bleui. La plaque en laiton doré est ciselée en relief de rinceaux sur un fond amati.
Mouvement échappement à verge, fusée à chaîne, balancier à ressort-spiral protégé par un coq à un pied gravé de fleurs de fraisier. La platine est couverte de rinceaux ajourés et gravés laissant apparaître la signature.
Legs Mme Claudius Côte, 1961. Inv.OA 10067. Collections du Musée du Louvre
⇑ Montre ronde astronomique signée P. DUHAMEL (1630-1686), Blois , vers 1660. Laiton doré, argent. Diamètre 3,8 cm. Musée National de la Renaissance, Ecouen.
⇑ Montre ovale en argent signée Richard MORGAN, Londres, 2 eme quart du XVII eme siècle. Hauteur 7,7 cm, largeur 5,2 cm, Ep 2,5 cm
Boîtier gravé en argent d’une scène allégorique d’après Etienne Delaune. Ci-contre le couvercle de fond décoré sur lequel se détachent Physique, Orgueil, Justice. Sous la ligne de sol est gravé un masque entre deux femmes ailées. Don Paul Garnier, 1916. Collections du Musée du Louvre, Paris.
⇑ Cornelius Jonson van Ceulen, vers 1650. Portrait de femme portant sa montre émaillée associée à sa clef de remontage, accrochée à la ceinture. Central Museum, Utrecht.
⇑ Montre ronde, mouvement vers 1730 signé John GERARD à Londres, boîtier signé en bas de la scène émaillée P.HUAUD/laisné. Boîtier et cadran dernier quart du XVII e me siècle.
Le fond du boîtier ci-dessus est orné d’une peinture représentant Vénus et Adonis. Adonis armé d’une lance et suivi de ses chiens, soulève une tenture sous laquelle apparaît la déesse nue, à demi-allongée. L’Amour s’agrippe à la jambe du chasseur. Inv.OA 8325 Musée du Louvre
⇑ Montre bassine émaillée vers 1640 signée Josias JOLLY à Paris. Or, laiton doré, émail. D: 5,8 cm – Ep: 1,8 cm
Le fond du boîtier est orné d’une peinture sur émail représentant La Vierge et l’Enfant en compagnie de saint Jean-Baptiste et de sainte Elisabeth, dont la source est une gravure de PetrusII de Jode d’après Erasmus II Quellin (1607-1678). Le contre-émail représente La Visitation. Ci-contre, une Vierge à l’Enfant de Simon Vouet (1590-1649) a servi de modèle pour émailler l’extérieur du couvercle. La mère et l’enfant , représentés de profil, se regardent avec tendresse. L’intérieur du couvercle est décoré du Mariage de la Vierge. La charnière est située au niveau du XII. Le centre du cadran représente une figure de femme. Mouvement à échappement à roue de rencontre et fusée avec cordelette rouge. Cliquet et coq décoré de fleurs de fraisier. Quatre piliers en forme de balustre.
L’émail a gardé toute sa fraicheur originelle. L’opposition d’un beau rouge vermillon et d’un bleu est exalté par les teintes plus douces comme le jaune doré du voile de la VIERGE ou des chevelures enfantines. Le mouvement appartient encore au type primitif. Sa hauteur est très petite, le barillet a une hauteur de 5 mm. Inv. OA 8428. Collections du Musée du Louvre.
⇑ Montre bassine émaillée signée G.GAMOT à Paris. Milieu du XVII e siècle. Or, laiton doré, émail. D: 6,3 cm – Ep: 3 cm
Le fond du boîtier est orné d’une scène tirée du roman d’Héliodore, Les Amours de Théagène et Chariclée, d’après une toile de Charles Poerson (1609-1667). Théagène et Chariclée, la tête de celle-ci ceinte d’une couronne de laurier, sont réunis près de la statue de Jupiter. Le prêtre grec Chariclès et l’Egyptienne Calasiris les entourent. Un amour tenant deux couronnes de laurier vole au dessus d’eux. L’intérieur du fond représente Théagène allumant le feu d’un autel en compagnie de Chariclès. Le couvercle (ci-contre) est décoré, à l’extérieur, d’un épisode de la même histoire: L’Embarquement de Chariclée, d’après une toile de Poerson conservée au Louvre. Th2ag7ne casqué enlace Chariclée, la tête couronnée de laurier. Au dessus du couple, vole un génie tenant un flambeau.
Cette histoire a connu une grande vogue aux XVI e et XVII eme siècle. Inv. OA 8318. Collections du Musée du Louvre.
⇑ Montre bassine signée Richard CHADD, Londres, Or, laiton doré, émail. D: 5,8 cm – Ep: 3 cm. Boîtier et cadran: 3 eme quart du XVII e siècle. Mouvement: Première moitié du XVIII eme.
La carrure est décorée d’un paysage continu de collines et maisons, animé de personnages. La lunette du cadran est gravée d’oves.
Au centre du cadran, un médaillon représente Diane, à mi-corps. Les chiffres romains des heures sont peints en émail noir sur un cercle en émail blanc. Aiguille en laiton doré, orné au milieu d’une fleur.
Le mouvement possède un échappement à roue de rencontre, une fusée avec chaînette, un balancier à ressort-spiral. Le coq au pied très large est ajouré de rinceaux symétriques parmi lesquels apparaissent deux têtes de dragon.
Inv. OA 8319. Collections du Musée du Louvre.
⇑ Boîtier de montre signée JEAN II TOUTIN. Boîtier signé sur le contre-émail du fond en bas J.Toutin. France, milieu du XVII e siècle. H: 5,4 – L: 4,7 – Ep:2
Cette scène représente Cérés, Bacchus, Vénus et l’Amour d’après une œuvre de Cornelis Van Poelenburg (1586-1667), gravée par Heinrich Guttenberg (1749-1818). La vivacité des couleurs, la fermeté du dessin et la facture en pointillé caractérise ce boitier peint au milieu du XVII e siècle par Jean II Toutin (1619-après 1660). Le même émailleur a signé deux autres boîtiers similaires par leur iconographie et leur style. Ces trois œuvres préfiguraient l’art des Huaud, appliqué à la décoration des montres, dans la seconde moitié du XVII e siècle.
Don Paul Garnier, 1916. Inv. OA 7075. Collection du Musée du Louvre
⇑ Boîtier de montre vers 1700, Jean- Pierre et Amy HUAUD. Or, émail. D: 3,8 cm – Ep: 2,1 cm. Boîtier signé à l’opposé du pendant: Les deux frères (sic) / Huautfecit
Une scène représente Aurore et Céphale peinte d’après une œuvre de Simon Vouet (1590-1649), gravée en 1642 par Dorigny, orne le fond. Le jeune chasseur, encore armé de sa lance, est enlevé par Aurore aidée par deux Amours. Le contre-émail représente un paysage aquatique au centre duquel apparaît une ile. Au premier plan, un vagabond est assis. Sur la carrure quatre médaillons séparés par des nœud jaunes doré sont décorés de paysage variés. La lunette est moulurée de filets. Ce boîtier est l’une des meilleures œuvres des Frères Huaud. La composition de la scène s’adapte particulièrement bien à la forme circulaire de la boîte. Les couleurs posées en multiples nuances, rose, grenat, violet, bleu, vert vif, jaune orangé, sont d’une grande richesse. Inv. OA 8435 Collections Musée du Louvre
⇑ Montre ronde émaillée signée Jehan AUGIER à Paris. Or, laiton, émail. H: 5,6 – L: 4,8 – Ep: 2 cm. Deuxième quart du XVII e siècle.
Sur le fond du boîtier ( ci-contre) une peinture sur émail représente la Vision de Saint Hubert d’après l’œuvre de Johan Wierix. Auprès de son cheval attaché à un arbre, le patron des chasseurs est agenouillé, les mains jointes, face au cerf qu’il poursuivait, entre les bois duquel un crucifix apparaît. Sur le contre-émail, un trois-mâts occupe l’avant plan d’une vus maritime. Le mouvement à fusée est muni d’un échappement à roue de rencontre, d’un foliot annulaire protégé par un coq ovale au pied allongé, gravé et repercé de rinceaux. Au dessus de la vis sans fin est fixé une rosette de réglage marquée de 5 à 30.
Par la facture de ses peintures, les caractéristiques de son mouvement, cette montre parisienne peut être datée vers 1630-1640. L’émail blanc du fond, laissé visible par endroits, met en valeur la fraîcheur des couleurs dégradées du brun au rose pâle, du bleu outremer au turquoise. Don Paul Garnier, 1916. Inv. OA 7074 Collections Musée du Louvre
⇑ Montre ronde émaillée signée Charles HENOU EMBDEN. Or, laiton doré, émail. d/ 6?5 – Ep: 2,2. Boîtier et cadran: milieu du XVII e siècle. Mouvement: fin du XVIII e siècle
Le fond du boîtier est orné d’une scène représentant Le Jugement de Pâris: Celui-ci désigne Aphrodite comme la plus belle des trois déesses en lui tendant la pomme d’or.
Le couvercle ci-contre représente L’Enlèvement d’Hélène. Au centre de la scène, se tient Pâris conduisant par le bras Hélène, accompagnée de ses suivantes, vers le rivage où les attend un navire.
Mouvement à échappement à roue de rencontre. Coq de style anglais.
La richesse des couleurs, la délicatesse de la facture, la science des valeurs, la perfection du dessin font de ce boîtier un chef d’œuvre. Les couleurs employées , rouge orangé, jaune doré, vert olive clair, bleu lapis lazuli. Inv. OA 8317. Collection Musée du Louvre
⇑ Montre ronde émaillée signée Roger DUNSTER à Londres. Dernier quart du XVII e siècle. Or, Laiton doré, émail. D:4,6 – Ep: 2,5 cm. Mouvement et cadran début XVIII e siècle.
Le fond du boîtier est orné d’une peinture sur émail copiée d’après une œuvre de Sébastien Bourdon (1616-1671), datée vers 1637, Les Adieux de Didon et Enée (Musée des Beaux Arts de Rouen). Accompagné de deux servantes, d’un page blond et d’un serviteur noir, la reine de Carthage écoute avec amertume les adieux de son amant qui se dirige vers son bateau ancré près du rivage. Le contre émail représente les ruines d’un édifice antique. La carrure est décorée de quatre médaillons, séparés par des fleurons jaunes, représentant des paysages traversés par une rivière.
Un paysage peint sur émail orne le centre du cadran. Mouvement à roue de rencontre. La technique en pointillé, le contre-émail orné d’un paysage, la carrure décorée de paysages avec bords de rivière dans des médaillons séparés par des fleurons jaunes l’apparente étroitement aux boitiers peint par les Fréres HUAUD ou leurs imitateurs. Inv. OA 8432. Collections du Musée du Louvre
⇑ Montre ronde émaillée signée DWERRIHOUSE, Londres. Or, laiton doré, émail. D: 4,9 – Ep: 2,5 cm
Boîtier et centre du mouvement: milieu du XVIIe siècle. Mouvement et cercle horaire: XVIII e siècle.
Le boîtier est orné, sur le fond, d’une scène de bataille antique. Au premier plan, une cheval blanc tombe et renverse son cavalier tué par le coup de lance d’un cavalier ennemi. Contre émail décoré en camaïeu brun de trois cavaliers armés et casqués. Mouvement échappement à cylindre.
Cette peinture du fond témoigne de l’habileté de l’émailleur qui a décoré ce boîtier. Il a su rendre le mouvement par d’audacieux raccourcis et utiliser des couleurs fortement contrastées: Blanc, bleu, rouge, brun et vert; pour équilibrer la composition. Inv. OA 8431. Collection du Musée du Louvre
⇑ Montre émaillée ronde signée OLARD, Jean-Pierre HUAUD, Gex et Genève, fin du XVII eme siècle. Or, laiton, émail. Hauteur 4,4 cm. Largeur 3,6 cm. Ep 1,8 cm.
Mouvement signé OLARD à Gex. Boîte signée dans un médaillon ovale, sur la carrure: HUAUT/le puisné/fecit. Au centre du cadran, une peinture sur émail représente Mars et Vénus, enlacés.
Les heures sont indiquées par des chiffres romains peints en émail noir sur un cercle d ’émail blanc.
Mouvement à échappement à roue de rencontre, vis sans fin, balancier spiral, coq à un pied.
Le boîtier de protection est en cuir noir clouté d’or et doublé de velour vert. Les deux lunettes en or ont un décor style rocaille. Inv. OA 10080 Collections du Musée du Louvre.
⇑ Montre anglaise émaillée, fin du XVII eme siècle. Musée du Petit Palais (Ville de Paris).
⇑ Montre bassine signée Jean MARTINOT, Paris, vers 1700. Laiton doré, émail. D: 4,6 cm – Ep: 2,9 cm. Boîtier vers 1700. Mouvement et cadran: second quart du XVIII e siècle.
Le fond du boîtier est orné d’une scène représentant Le roi Candolle, tirant les rideaux d’un lit et désignant à un jeune homme la femme nue qui dort. Le contre-émail est peint d’un paysage avec un moulin au bord de l’eau. Sur la carrure quatre médaillons ovales, séparés par des fleurettes blanches sur fond bleu, contiennent des paysages variés.
La représentation du nue féminin qui occupe tout le premier plan de la peinture du fond de la boîte exigeait une technique particulièrement habile. L’émailleur est parvenu à créer un modelé très doux par la juxtaposition de petites touches vertes, roses et brunes. La blancheur nacrée de ce corps nu et des draps sur lesquels il repose est mise en valeur par une harmonie de vert, de rose, de bleu et de jaune. Inv. 8452 Collections du Musée du Louvre
⇑ Montre ronde signée John FLADGATE, Londres. Or, laiton doré, émail, brillants, rubis. Diamètre: 3,3 cm. Epaisseur: 1,7 cm. Boitier et cadran vers 1675-1680. Mouvement et lunette milieu du XVIII eme siècle
Un médaillon ovale représentant le buste d’un personnage coiffé d’un casque empanaché orne le fond du boitier en or. Cette peinture est entourée de quatre cartouches en camaïeu rouge représentant des édifices variés. Il s sont séparés par quatre autres cartouches ornés de fleurettes blanches et jaunes émaillés en relief.
Ce boitier est semblable à la boite d’une montre signée par Christianus. Le fond des deux boitiers sont ornés d’un buste de femme entouré de cartouches en camaïeu rouge dont les paysages sont presque identiques et de cartouches en reliefs identiques. Par conséquent, il est probable que l’auteur de cette boite de montre soit aussi Jean-Pierre Huaud ou qu’elle ait été peinte dans son atelier. Inv OA 8328. Musée du Louvre, Paris
⇑ CHRISTIANUS, Jean-Pierre HUAUD. Troisième quart du XVII eme siècle. Or, laiton doré, émail. D: 3, 3 cm – Ep: 1,8. Boîtier signé à l’opposé du pendant: HUAUD/le puisné/fecit
Sur le fond du boîtier, un médaillon peint, de forme ovale, encadré d’une torsade, contient le portrait en buste d’une femme. Sur le pourtour, recouvert d’un émail bleu clair opaque, quatre paysages où s’élèvent des édifices variés sont peints en camaïeu rouge, dans des cartouches jaunes en relief, séparés par des fleurettes blanches en relief.
Le contre-émail bleu clair est décoré d’un médaillon ovale représentant une figure coiffée d’un casque empanaché. Au centre du cadran un disque d’émail bleu, encadré d’une torsade jaune et brune est ornée d’une fleur blanche et jaune. Mouvement à verge, fusée avec corde à boyau, vis sans fin. Coq renaissance fixé par vis. Pas de ressort spiral et boîtier décoré par J-P Huaud né en 1655, on peut situer cette montre dans les années 1670- 1680. Inv. 8327 Collections Musée du Louvre
⇑ Salomon CHESNON 1 er, installé à Blois. Né à Blois en 1572. Etabli en 1598. Se marie au Temple en 1604. Juré en 1615, mort en 1639. En 1618, Marie de Médicis lui acheta une grande horloge sonnante à mettre sur table pour 800 livres.
Cette montre ovale à sonnerie au passage (en bon état de fonctionnement) récemment acquise par un Collectionneur en salle des ventes, était dans la même famille depuis 400 ans ! Ce qui est extrêmement rare ! Vous la voyez telle qu’elle a été mise en vente et telle qu’elle sera gardée, avec les traces du temps …
⇑ Pieter CLAESZ, Vanitas Still Life with the Spinario, 1628. Huile sur toile, Rijksmuseum.
⇑ Montre de forme étoile à 10 branches signée DUBOULE, Genève, premier quart du XVII eme siècle. Or, diamants, émail. L 5,8 cm, l 4,2 cm, p 2,9 cm. Musée National de la Renaissance, Ecouen.
⇑ Montre signée Denis CHAMPION à Paris
Or, laiton doré, émail. D. 3,3 – Ep/ 1,8 cm. Troisième quart du XVII e siècle. Peint en camieu bleu, buste de Minerve, casquée et armée, encadrée d’une fine torsade en or réservé et d’une guirlande de fleurs polychome.
L’association d’une peinture en camaïeu bleu et d’une peinture polychrome donne un grand raffinement à cette montre. La guirlande fleurie, composée de roses, de tulipes, d’œillets, de jonquilles, s’inspire des modèles de Jacques Vauquer et de Gilles Légaré qui publia en 1696 le Livre des ouvrages d’orfévririe. Inv. OA8333 Collection du Musée du Louvre
⇑ Montre signée Charles SARRABAT, Paris.
Milieu du XVII e siècle. Inv. OA 8306 Collection du Musée du Louvre. Or, laiton doré, cristal de roche, émail. D: 3 – Ep: 1,5 cm. Mouvement signé Sarrabat à Paris.
Le fond du boîtier martelé est recouvert d’un émail vert translucide sur lequel se détachent, en or réservé et gravé, des rinceaux fleuris parmi lesquels sont perchés des quatre oiseaux. L’éclat de l ’émail translucide de couleur vert émeraude, rehaussé par le martelage du fond en or, donne à cette montre la préciosité d’un bijou. Les orfèvres de la première moitié du XVII e siècle ont souvent employé ce procédé décoratif que les émailleurs de la fin du XVIII eme siècle perfectionneront en améliorant la protection de l’émail translucide. Avec son boîtier protecteur.
⇑ Montre de forme coquille, France, première moitié du XVII eme siècle. Argent, laiton doré, fer. Musée National de la Renaissance, Ecouen.
⇑ Montre de forme coquille
⇑ Montre en forme de coquille signée Jean VALLIER à Lyon. Cristal de roche, laiton, émail. H: 5,7, L:3,6, Ep:2,5. Première moitié du XVII e siècle.
Le boîtier en cristal de roche est composé de deux couvercles évasés, nervurés à l’imitation d’une coquille dite peigne de Vénus, séparés par une carrure unie. Les armatures en laiton sont gravées de stries sur leurs faces externes. Pendant en forme de chapiteaux, bouton mouluré.
La plaque du cadran est gravée de rinceaux fleuris parmi lesquels apparaissent deux figures fantastiques et un chérubin portant un plateau de fruits. Le disque horaire à chiffres romains est décoré en émail bleu et vert translucide d’une chèvre passant devant un bosquet. Aiguilles en acier bleui. Mouvement à échappement à verge, fusée avec corde à boyau, coq et cliquet ajourés et gravés de rinceaux.
L’élégance de la forme et la finesse de la gravure sont les caractères essentiels de cette montre décorative signée par un horloger également connu pour des montres à complications. Don Paul Garnier. Inv. OA 7042. Collection du Musée du Louvre.
⇑ Montre de forme cruciforme signée AUSIN, vers 1650. Argent, laiton doré, cristal de roche. THE WALLACE COLLECTION (Londres)
⇑ Montre de forme croix, anonyme, France, première moitié du XVII eme siècle. Argent, laiton doré. H 5,4 cm, L 3 cm, P 1 cm.
Boîtier en forme de croix latine à bras arrondis, soulignés de moulures. En argent doré, elle est gravée en léger relief de rinceaux fleuris parmi lesquels apparaissent, sur le couvercle, le Christ en Croix et sur le fond, la Vierge et l’Enfant. La carrure est aussi gravée de rinceaux fleuris. Le mouvement possède un échappement à verge, un foliot annulaire, un coq et un cliquet ajourés et gravés de rinceaux fleuris. Piliers en forme de balustre. INV OA 7058 Musée du Louvre.
⇑ Montre en forme de croix signée Claude DUCLAIR, Lyon, deuxième quart du XVII eme siècle. Cristal de roche, laiton, argent. H 5,9 cm, L 4,9 cm, P 2,2 cm.
Le boîtier est en forme de croix latine. Le fond et le couvercle sont en cristal de roche, taillés de pans biseautés et arrondis, sont entourés d’armatures en laiton doré, gravées de feuillages, montées à charnière. Le mouvement est muni d’un échappement à verge, d’une fusée avec corde à boyau, d’un coq gravé et ajouré, d’un cliquet dont le décor a été réduit pour laisser la place à la signature de l’horloger Claude DUCLAIR († 1649), qualifié de maître dès 1633. INV OA 10058 Musée du Louvre
⇑ Montre en forme de croix, vers 1620-1630, Europe occidentale. Argent , laiton doré, fer. Hauteur: 4,5 cm, Largeur: 3,1 cm, Epaisseur: 2,5 cm. Musée National de la Renaissance, Ecouen
⇑ Montre en forme de croix signée Henry ESTER, Genève, troisième quart du XVII eme siècle. Cristal de roche, argent, laiton. H 6,5 cm, L 3,7 cm, P 2,3 cm.
En forme de croix latine à double bras, le boîtier est en cristal de roche taillé à biseau. Les armatures en laiton doré sont gravées de feuillages. La plaque du cadran est les platines en laiton doré sont cruciformes, leurs extrémités arrondies. Le mouvement comporte un échappement à roue de rencontre. Fusée munie d’une chaînette en acier. Comme dans les meilleurs exemples de montres squelettes du XVII eme siècle, les parties laissées visibles à travers le cristal de roche sont gravées avec beaucoup de raffinement. inv OA 7054 Musée du Louvre.
⇑ Montre en forme de croix, vers 1630-1640. Laiton doré ciselé et gravé. Hauteur 5,4 cm, largeur 3,4 cm, Épaisseur 1,5 cm. Musée National de la Renaissance, Ecouen.
⇑ Montre en forme de croix signée Jean VALLIER à Lyon, première moitié du XVII eme siècle. Cristal de roche, argent, laiton. H 7,3 cm, L 3,8 cm, P 2,6 cm.
Boîtier en forme de croix latine. Des armatures en laiton doré, gravées de rinceaux et de fleurettes, maintiennent le couvercle du fond en cristal de roche taillés en biseau. Le pendant a l’aspect d’un chapiteau fleuri. En laiton doré, fixée par une charnière, la plaque du cadran dessine une croix aux bras arrondis. Le mouvement possède une fusée avec corde à boyau, échappement à roue de rencontre. Un nombre relativement élevé de montres signées par Jean VALLIER († 1649), établi dès 1602 comme maître à Lyon, est conservé. Vial et Côte en décrivent treize, dont trois en cristal de roche appartenant au musée du Louvre: hormis celle-ci, une montre en forme de coquille et une montre octogonale. inv OA 7040
⇑ Montre en forme de croix dans son étui, vers 1640. Musée du Louvre.
⇑ Montre en forme de croix, vers 1600 signée Combret, Pierre (1570 – Lyon, 1622). Laiton et argent ciselés et gravés, fer, cristal de roche taillé
Montre en forme de croix latine avec couvercle et boîtier en cristal de roche. Bélière en forme de boule munie d’un anneau.
Dimensions 6cm (Hauteur) 3,4cm (Largeur) 2,3cm (Profondeur)
La plaque du cadran est gravée de rinceaux symétriques. Le cadran horaire est un cercle en argent gravé de chiffres romains.
Signé sur le mouvement : « P Combret A Lyon. Mode d’acquisition Legs Donateur, testateur ou vendeur Dutuit, Auguste et Eugène. Date d’acquisition 1902
Numéro d’objet PP-ODUT01411. Musée du Petit Palais, ville de Paris.
⇑ Montre croix Musée du Louvre
⇒ DOU GERARD Nature morte à la bougie, vers 1660, SKD Gemäldegalerie Alte Meister Dresde
⇑ Montre de forme bassine, double boîte gainée, cloutée d’argent, signée Nathaniel Barrow in ExchanAlly Londres. Vers 1660.
Boîte plate en argent uni avec occultation du trou de remontage, boîte de protection en argent gainée de cuir clouté. Cadran argent à chiffres romains portant en son centre gravée en taille douce la scène de Narcisse se mirant dans l’eau d’après une gravure de Virgile Solis. Aiguille unique en acier en forme de sceptre. www.horlogerie-ancienne-collections.com Mouvement à échappement à verge foliot circulaire, coq à un pied en argent fixé par une vis, fusée à boyau, remontage par clé à l’arrière du mouvement. Diamètre: 5,1 cm. Collection particulière.
⇑ Montre forme oignon signée Issac THURET à Paris, fin XVII e siècle. Laiton doré, émail. H: 6,2 – L: 5,8 – Ep: 3,2 cm
Le boîtier en laiton est peint sur émail. Sur le fond, figure La Mort de Cléopâtre. Sur la carrure et la lunette se déploie un paysage. Le pendant est court.
Le cadran est à cartouches en émail blanc portant des chiffres en émail noir. Le mouvement est muni d’un coq émaillé représentant un jeune homme coiffé d’une longue perruque. Un couvercle vitré s’ajuste sur la platine. Il forme un double fond laissant voir le portrait sans ouvrir le mouvement. Celui-ci possède un échappement à roue de rencontre, une fusée avec chaîne, un balancier ressort-spiral réglant court dont le réglage est effectué par une crémaillère. Piliers égyptiens.
Cette montre est remarquable par le coq émaillé, avec une extrême finesse, qui orne son mouvement. La mode de décorer les coqs d’un portrait est caractéristique des années 1680 à 1710. Cette décoration confère aux montres une valeur sentimentale et une qualité décorative supplémentaire.
Legs Mme Claudius Côte, 1961. Inv. OA 10076. Collection Musée du Louvre
⇑ Montre de forme oignon (vers 1700) signée François DENTAND ( Genève, 1671-1754). Affichage par guichet sur le cadran du quantième et coq pendulum émaillé.
Boîte en laiton doré et écaille cloutée d’or, avec coq pendulum émaillé d’un buste de femme aristocrate visible par un fond doté d’une glace. Cadran à cartouches émaillée, affichage du quantième à 12 h dans un guichet découpé. Mouvement à échappement à roue de rencontre, fusée, chaîne. Diamètre 6 cm. Musée de l’horlogerie, Genève.
⇑ Montre de forme oignon (vers 1700) signée François DENTAND ( Genève, 1671-1754). Affichage par guichet sur le cadran du quantième et coq pendulum émaillé.
Diamètre 58 mm. Coq pendulum émaillé d’un portrait de dame de qualité. Le dos de la boîte recouverte d’écaille de tortue, laisse voir le coq pendulum par une ouverture. www.horlogerie-ancienne-collections.com
Affichage du quantième à 12 h sur le cadran à cartouches bleues. Deux aiguilles, remontage à deux heures. Mouvement à échappement à roue de rencontre, fusée et chaîne.
⇑ Montre de forme oignon, avec coq émaillé, signée A. ENDERLIN à BALE.
⇑ Montre forme oignon Signée Jean Fardoil, Paris vers 1710
Boîte en argent fondu repercée et richement décorée dans le goût des œuvres prônées par Paul Decker. Rinceaux, trophées, animaux (scorpions, dauphins, écureuil, oiseaux) rehaussent avec éclat la préciosité de cette boîte. Cadran émail à bosses à chiffres romains pour les heures, arabes pour les minutes, de cinq en cinq et complété d’un cercle d’indication de leur totalité. Deux aiguilles en acier bleui. Remontage à 4 h. Mouvement à échappement à verge et balancier spiral. www.horlogerie-ancienne-collections.com . Coq à dentelle . Sonnerie des heures et des quarts à la demande sur timbre. Dimensions: 6 cm. Collection particulière. La sonnerie à la demande permet au propriétaire de connaître l’heure la nuit. Jean Fardoil est issus d’une grande famille horlogère originaire de Blois.
⇑ Montres de forme oignon, époque Louis XIV, vers 1700. www.horlogerie-ancienne-collections.com
Horlogers: en haut au milieu François DAGONEAU, en bas à gauche COUPE ANGLOIS, en bas à droite Balthazar MARTINOT. Musée du Louvre, Paris
⇑ Montre de forme oignon signée Gme PECQUET, Paris.
Inv. OA 8422. Collections du Musée du Louvre, Paris.
↑ Montre de forme petit oignon signée F. LAMANT, Abbeville, vers 1710
Boîte en argent fondu repercée, ajourée, gravée d’un décor à la Bérain de trophées et rinceaux.
Cadran émaillé à bosses à chiffres romains pour les heures et arabes pour les minutes. Deux aiguilles en acier bleui. www.horlogerie-ancienne-collections.com .Remontage à 4 h. Mouvement à verge et balancier spiral. Coq en argent. Sonnerie des heures et des quarts à la demande sur timbre. Piliers à l’égyptienne. Diamètre: 5,2 cm. Collection particulière.
⇑ Montre réveil de forme oignon signée Pierre TOLLOT, vers 1695
Boîte en laiton couverte de galuchat vert, bâte levée ajourée et gravée. Cadran annulaire émail à chiffres romains pour les heures, indication des quarts par index, centre en laiton doré pour le réveil, gravé de chiffres arabes. Aiguille de réveil et index des heures en acier. Remontage dans le cadran à 4h et 9 h. Mouvement à échappement à verge et balancier spiral. www.horlogerie-ancienne-collections.com .Coq à deux pieds fixé par vis, décoré d’oiseaux et de bêtes fantastiques dans le goût de Bourdon et de Bérain. Rosette de réglage en argent. R2gulateur de force du ressort à fusée. Tension initiale d’armage par cliquet interne. Sonnerie de réveil sur timbre. Piliers à l’égyptienne. Diamètre: 5,6 cm. Collection particulière.
Pierre TOLLOT, apprenti horloger chez Antoine II Arlaud en 1685, exerce à Genève. La bâte levée ajourée, protégée par la lunette, permet à la sonnerie d’être entendue sans que cela nécessite une double boîte de protection.
⇑ Montre réveil de forme bassine signée PIERRE TOLLOT, vers 1695
Boîte en argent repercée et gravée de rinceaux et de fleurs. Boîtier de protection argent, gravé de rinceaux, de masques (un vieil homme et un jeune homme) et de quatre décors représentant un bâtiment durant les quatre saisons. Cadran en argent, gravé de chiffres romains pour les heures, de la division des quarts, le cercle central portant les chiffres arabes du réveil. Aiguilles réveil en laiton et index des heures en acier. www.horlogerie-ancienne-collections.com . Remontage à 4 h et à 8h30. Mouvement à échappement à verge et balancier spiral. Coq à un pied de type anglais fixé par une vis et contre-platine totalement ouvragée, repercée et gravée de rinceaux et d’oiseaux. Rosette de réglage en argent. Régulateur de force du ressort à fusée. Barillet de sonnerie gravé de fleur et de rinceaux. Sonnerie de réveil sur timbre. Pilier à l’égyptienne. Diamètre 5 cm. Collection particulière.
⇑ Montre de forme oignon, sonnerie réveil, signée Lancelot à Paris. Vers 1695. Horloger du Roi. Place de Greve.
Boîte en argent uni, gravée en son centre du chiffre du propriétaire, surmonté d’une couronne comtale. Batte inférieure levée, ajourée, décorée de rinceaux. Cadran émail annulaire à chiffres romains pour les heures, indication des demies par index. Cadran central du réveil en laiton doré, chiffres romains, indication de l’heure et aiguille du réveil en acier bleui. www.horlogerie-ancienne-collections.com . Mouvement à échappement à verge balancier spiral, coq penduleum, décoré de rinceaux dans le goût de Bérain, régulateur de force du ressort à fusée, remontage du mouvement et de la sonnerie par le cadran à l’aide d’une clé, mise à l’heure de l’index des heures manuellement. Dimensions: 5,9 cm. Collection particulière. François Lancelot exerce à Paris dès 1684.
⇑ Montre de forme oignon signée Simon De Charmes, Londres. Rare montre oignon et double boîte en écaille. Vers 1700. Boîte intérieure en argent poli, boîte extérieure en écailles verte. Diamètre 61 mm.
Cadran en argent gravé de chiffres romains pour les heures et arabes de cinq en cinq pour les minutes. Un guichet auxiliaire laisse voir le penduleum. Le réglage s’effectue sur la gauche du cadran à l’aide d’un petit carré. Mouvement à échappement à verge et balancier spiral. Régulateur de force du ressort à fusée.
Simon De Charmes est venu de France en Angleterre c.1685, libre CC à Londres de 1692 à 1730. Construction du mouvement particulier. Le balancier inversé se trouve sous le cadran.
⇑ Montre forme oignon, boîte gainée et cloutée d’or.signée Hommet à Paris. Vers 1710
Boîte laiton doré couverte de cuir clouté d’or. Cadran doré et gravé muni de 48 cartouches émail, 12 pour les heures à chiffres romains, 12 pour les minutes à chiffres arabes et 24 pour les indications des demi-heures. Deux aiguilles fleurs de lys et balustre en acier bleui.www.horlogerie-ancienne-collections.com . Mouvement à échappement à verge balancier spiral, régulateur de force du ressort par fusée, grand coq de protection du balancier décoré d’un trophée guerrier et de drapeaux. Dimensions: 5,8 cm. Collection particulière.
⇑ Montre forme bassine cadran astronomique signée Prévost à Londres. Vers 1690.
Boîte en argent uni, boîtier de protection en argent couvert d’écaille clouté d’argent. Cadran fausse plaque de laiton sablé et doré, muni de guichets et de cercles annulaires d’argent pour les indications des complications, en bas cercle des heures, chiffres romains, aiguille unique en acier bleui, à droite, guichet pour les mois et les signes du zodiaque, sur le dessus, cercle pour le quantième du mois, chiffres arabes, aiguille unique, en cier bleui, à gauche, guichet pour les jours de la semaine et les symboles mythologiques correspondant, au dessus, cercle pour l’indication de l’âge de la lune encadrant un petit guichet qui en montre les phases, aiguilles unique en acier bleui. Dans le guichet du haut sont mentionnés les mois et leurs signes. Mouvement à échappement à verge et balancier spiral, coq à un pied décoré de fleurs de fraisier.www.horlogerie-ancienne-collections.com . Régulateur de force du ressort à fusée, remontage à clé par l’arrière du mouvement et mise à l’heure des fonctions par le carré sur le cadran. Dimensions: Diamètre 4,8 cm. Collection particulière.
⇑ Minuscule montre de forme bassine. Double boîte gainée de cuir. Anonyme. Vers 1650.
Boite unie en vermeil, double boîte couverte de cuir, cerclée et cloutée de vermeil. Cadran argent à chiffres romains portant en son centre gravé un décor champêtre. Aiguille unique balustre en acier. www.horlogerie-ancienne-collections.com .Mouvement à échappement à verge, foliot circulaire, coq à un pied décoré de fleurs de fraisier et fixé par une vis, garniture de tension du ressort en acier bleui, régulateur de force du ressort à fusée et boyau, remontage à clé par l’arrière du mouvement et mise à l’heure de l’aiguille manuellement. Diamètre: 2,9cm. Collection particulière.
⇑ Montre de forme bassine sonnerie de réveil et top horaire signée Boislandon, Le Mans. Vers 1650
Boîte en argent reperçée, décorée d’un masque et de fleurs, dont la tulipe, boîte de protection en cuir cerclée d’argent. www.horlogerie-ancienne-collections.com . Cadran annulaire en argent, gravé des heures en chiffres romains et pour le réveil disuqe central en laiton gravé de chiffres arabes et de fleurs. Aiguille de sonnerie et index des heures en acier bleui. Mouvement à échappement à verge à foliot circulaire, coq à un pied doré fixé par vis, décoré de fleurs. Régulateur de force du ressort à fusée. Sonnerie de réveil sur timbre. Remontage par le fond à l’aide de la clé manivelle, mise à l’heure des aiguilles manuellement. Diamètre: 3,9 cm. Collection particulière.
Cette montre à la particularité en plus du réveil de sonner l’heure au passage par un coup.
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⇒ Je recherche d’autres modèles de montres du 17 eme siècle, merci de me contacter par mail: h.a.c@outlook.fr
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